Sea, sand and sun
Réveil en douceur avec un beau levé de soleil, je vais voir mon Jules qui s’éveille doucement et il me prête un peu son lit. Sur la plage des gens ont dormi et on ne voit plus que les duvets oranges au loin.
Ce matin petit-déjeuner avec des œufs brouillés, on rentre dans la phase il faut tout manger avant de finir la croisière.
Puis on lance une expédition à terre, à la nage, pour voir de plus près la verdure.
Un campement sauvage est installé, plutôt cool en apparence, mais malheureusement la gestion des déchets laisse à désirer. On va jusqu’à la maison que l’on voyait au loin, on trouve un vaste puit, ce qui explique la verdure. Par contre des poubelles sont posées là et beaucoup de choses ont volé avec le vent. Augustin et moi on ramasse au moins les conserves car on a peur du feu. C’est un peu triste de voir un si bel endroit cracra mais je pense quand même qu’il y a un ramassage, peu régulier, car les quantités ne sont pas énormes.
Retour au bateau et expédition « cailloux » pour Sabine et moi avec mon petit sac, j’adore en ramener quelques uns, en souvenir. Ils me servent de presse papier ou de déco et me rappellent les bons souvenirs quand je les regarde.
Un très très joli voisin vient d’arriver, mais lui, ne peut pas trop approcher, un vrai bateau, la classe!!!
Puis place au déjeuner de restes avant de prendre la mer vers 14h00 direction Khéa, ça sent la fin, la boucle est bouclée.
Une nav rapide, on arrive sur Khéa au même mouillage qu’au premier jour en fin d’après midi. Un plagiste joue les gros bras pour nous empêcher de mouiller sur sa zone de jeux avec son bateau qui tire des bouées. Pas de bol ça marche pas en plus ce mouillage est le seul abrité du Meltem et ça souffle encore. (Thomas: il ne faut pas se laisser impressionner par certains qui ont un comportement « égoïste », le skipper pense avant tout à la sécurité du bateau et de l’équipage).
Baignade pour tous, Thomas récupère une casserole à 7 mètres. Ce soir c’est pâtes à la béchamel et champignons.